ton Amour éternel et sincère
m'est d'une Beauté familière
sous la Chaleur de ses nuits d'été
Et la Douceur de l'herbe des prés
des Etincelles jaillissent des buchés
les Flammes consument absolument tout
la Guerre qui jamais ne veut cesser
et les Humains roués par les coups
sur une Image surréaliste et irréel
où la Joie nous fait rêver
des Kilomètres où sépare de cette passerelle
mais la Lumière continue de les éclairer
le Mal est en chacun de nous
et Noir sont les hommes démanger par la haine.
où l'Obscurité c'est installer partout
et où la Peur dévore leur âme en peine.
les Querelles se multiplie et tuent
la Rage s'installe dans le monde
où le Sang coule la où jadis le paradis fut
et où la Tempête détruit en quelques secondes
cet Univers de cruauté
est un Voiles de la vérité
où la Watt n'est pas assez douce
pour le Xin esprit jaloux
mes Yeux ont observé
cet univers de cruauté
et au Zénith le lendemain
ils se sont complètement éteins